No 40 - La vie n’a pas d’orientation, elle suit toujours une voie du destin

Bien que je ne sois pas homophobe, je suis péché-phobe, nous ferons lumière sur comment le cerveau peut fabuler sur la question d’orientation sexuelle, et de plus, comment le destin ne nous condamne pas, mais nous libère.

Dans la vague qui incite les gens à croire à la question de l’homosexualité en tant que choix, ces gens seront bien tristes d’apprendre que l’orientation sexuelle n’est pas un choix libre. Nous sommes nés homme ou femme par pressions universelles. Ces pressions universelles, de la société ainsi que de notre environnement, qui pèsent sur la vie d’un homme ou d’une femme influenceront ses choix. Évidemment, ceux qui choisissent le péché se sont ceux dont des antécédents pèsent sur leur conscience et qui choisissent le plus facile.

Ici, il est clair que la vie ne nous condamne pas à effectuer des choix. Nous avons toujours le choix. La liberté nous enseigne que dans notre pensée, notre cœur aussi, nous pesons le pour ou le contre d’une idée et ce pourquoi certains choix paraissent difficiles. Évidemment, il convient de s’enrichir de cette science, appelée la Loi Martiale, c’est-à-dire la Loi qui vient de Mars (mon surnom), pour faire face à nos choix. Car le manque de connaissance et d’intelligence rend confus les gens. Lorsqu’un flou se crée, c’est parce qu’il n’y a pas d’image précise sur comment les choses se passe. Ainsi, un mystère rôdait toujours autour de la question « d’orientation sexuelle ». Mais avec les recherches de Matheus, un éclaircissement vient à l’ordre du jour concernant ce mystère : les gais et les lesbiennes reculent toujours devant le choix du partenaire… car le choix évident est d’assumer son hétérosexualité qui vient avec la voie du destin. En allant de reculons, le cerveau revisite les choix du passé, mais ils vont creux, car le premier destin d’un humain, c’est son sexe.

C’est que nous ne sommes pas condamnés par la voie du destin, notre personnalité, nos comportements, nos goûts, notre sexe en seront affectés et forgera ce que nous sommes. La seule chose que nous pouvons dire, c’est que vous êtes passé par là.